Par vacances « raisonnées », on entend vacances qui font plaisir aux enfants comme aux adultes, tout en limitant les pots cassés au niveau impact environnemental. En partant en Aveyron / Lozère, on a mis en place notre plan d’attaque : limiter nos émissions de CO2, éviter de générer des déchets, passer beaucoup de temps au grand air et profiter du moment.
Limiter les émissions de CO2 liées aux transports
Pour cela, depuis quelques années on privilégie les destinations proches de chez nous, parce que la France est quand même un super beau pays et parce qu’un trop long trajet en voiture, c’est lourd pour les enfants ! Bye bye l’avion, bonjour les transports terrestres. Là où on va, difficile d’utiliser le train (qui aurait beaucoup plu aux enfants en plus d’être plus écolo que la voiture), on se rabat sur la voiture. Pas électrique, certes. Mais on ne va pas loin (2h30 de route maxi), et on n’utilise pas de coffre de toit qui brise l’aérodynamisme de la voiture et augmente la consommation de carburant (à ce qu’il parait, on n’a jamais testé et on ne testera probablement jamais).
En résumé pour le voyage en voiture :
- On opte pour une destination proche.
- On évite de surcharger la voiture et d’utiliser un coffre de toit.
- On espère, un jour, utiliser un moyen de transport plus écolo que notre voiture à moteur thermique…
Éviter de générer des déchets
On n’en génère que très peu à la maison, alors ce n’est pas en vacances que l’on va commencer à faire exploser la poubelle ! Avant de partir nous avons interrogé consovrac.com pour savoir s’il existait de la vente en vrac près de notre destination. Réponse négative. Pas de problème, on réserve dans le coffre de la voiture une petite place pour notre habituel carton de courses en vrac, avec le strict nécessaire en produits secs. À cela, on ajoute des légumes de notre potager pour les premiers jours, les restes du frigo (dont les yaourts faits maison), un pique-nique et de quoi composer rapidement un repas pour le premier soir.
Une fois au chalet que nous avions loué, absence totale de bac pour le recyclage. Tant pis, on garde de côté les quelques emballages générés, pour les mettre dans un bac de collecte dans la ville la plus proche. Pour le compost, plus compliqué. On s’est résignés à mettre nos épluchures dans une poubelle normale, mais à la réflexion, on aurait pu se débrouiller autrement…
Passer du temps au grand air et profiter
Ça se passe de commentaires, je vous laisse avec ces quelques photos de nos vacances « raisonnées ».
